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Auto-contrôle du plomb par lingettes : demandez conseil aux experts certifiés plomb ATEMIS pour votre contrôle surfacique

Des travaux de rénovation, mais aussi une démolition, sont forcément générateurs de poussières. Libérées dans l’air, ces poussières toxiques, émises après par exemple une opération de ponçage, peuvent contenir du plomb, plus particulièrement si le bâtiment est ancien. La réglementation française juge qu’un immeuble construit avant 1994 est susceptible de contenir du plomb, et donc de présenter un danger pour les artisans en charge de le rénover.

En tant que propriétaire, vous avez fait le choix de mener les travaux vous-même ? Une simple réfection de peintures anciennes représente un danger et vous expose au risque d’ingérer du plomb et de subir les symptômes du saturnisme, intoxication au plomb.

Cet auto-contrôle est également nécessaire en cas de peintures dégradées dans un logement. Toute peinture écaillée est susceptible de nuire à la santé des occupants du logement, et plus particulièrement à celle des enfants, et nécessite une surveillance. Un auto-contrôle par lingettes sécurise vos travaux, et n’expose pas les artisans au risque d’ingérer des poussières toxiques. Au-delà de ça, elle préserve la santé des occupants du bien, hors travaux.

Auto-contrôle du plomb par lingettes : un protocole simple et efficace


Le contrôle surfacique en plomb est opéré grâce à l’application de lingettes humides au sol. Un protocole bien précis est à respecter pour garantir l’efficacité de l’opération, à renouveler par ailleurs en fin de chantier en cas de travaux. Il convient d’essuyer une surface de 10 cm² en deux passages, selon une méthode connue des diagnostiqueurs immobiliers, avant une analyse en laboratoire spécialisé.